2025.04.07. Le Service des activités sportives de l’Université Laval n’a sans doute pas soumis le texte de sa page publicitaire (Le le Journal de Québec, 5-6 avril, p. 24) à des réviseurs. On y lit au moins deux «fautes». La première : «’en support’ à nos étudiants»; la seconde, «nos récipiendaires». Le mot «support» pris au sens d’«appui» moral ou financier, de «soutien» est un anglicisme courant. Il est facilement contournable, comme on peut le voir, par les solutions de rechange évoquées. Et «récipiendaire»? Les dictionnaires d’usage le définissent comme quelqu’un qu’on admet publiquement dans un groupe, qu’on décore d’une médaille ou, encore, à qui on décerne un diplôme. Si on lui accorde une bourse, il est un mot tout simple pour le désigner : un boursier. On notera cependant que la forme fautive a du panache! Mais le Service de l'U.L. devrait considérer les mots proposés, plus justes en français : appui ou soutien et boursier.
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