2020-10-15. La covid nous menace depuis sept mois. Pardon! on a pris l’habitude d’écrire la COVID. Les journaux québécois suivent cette pratique. Il y un avantage : on n’oublie pas la pandémie! Nous l’avons sous les yeux, en majuscules toujours, en manchettes et dans les textes. C’est à se demander si les journalistes n’utilisent pas les majuscules quand ils parlent! On ne semble pas constater que l’acronyme se lexicalise et qu’on le prononce comme un mot. On oublie aussi qu’on a écrit «SIDA» par le passé et qu’on écrit maintenant «sida». L’Académie utilise des minuscules et l’Economist de Londres fait de même. Druide écrit : «La minusculinisation intégrale est ….recommandée quand….certains des éléments constitutifs de l’acronyme sont des syllabes…» (Druide, point de langue). Ce faisant, on évite l’accumulation de «pavés» de mots en capitales (Jean- P. Colignon, 2019). Souhaitons que la médiasphère s’ajustera.
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