2020-10-20. Les téléspectateurs ont eu droit à l’expression «… était due pour son test» (Téléjournal, 20 octobre, 18 h 24) Elle fut prononcée par madame N. Germain. On classe la tournure parmi les formes fautives, parmi les calques sémantiques ou parmi les calques tout court de l’anglais. Qu’aurait-il fallu dire? Le Muiti dictionnaire propose : « … avait droit à…»., le Dictionnaire québécois-français, une formule du genre «… c’était le temps de passer un test» et le Français au micro de Radio-Canada : «il était grand temps qu’elle passe un test». Les conseils tant d’Usito que de la Banque de dépannage de l’OQLF vont dans le même sens. Les solutions de contournement sont donc nombreuses. L’anglicisme est un classique du français québécois. On peut y succomber une fois, deux fois. Mais il serait impardonnable de répéter la faute. Les téléspectateurs n’en demandent pas tant!
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