2017.12.30. On se demande pourquoi Le Soleil doit faire appel à un mot anglais dans le sur-titre «Paramédic mort en attendant l’ambulance » (29 décembre, p. 14). Il est vrai qu'un gestionnaire de Dessercom (Lévis) l'a utilisé. Le mot n’est pas français. Il a même un équivalent – un frère jumeau si l’on veut : «ambulancier ». Si les employés du journal avaient le réflexe de consulter un dictionnaire de traduction (par exemple, le Robert & Collins), ils constateraient que la partie français-anglais n’affiche pas le mot utilisé et que la partie anglais-français lui assigne la traduction «auxiliaire médical». En somme, le calque n’est pas reconnu pour le moment, sans doute parce qu’il a le même contour que le mot «ambulancier ». On observera, par ailleurs, que la manchette : «Ambulancier mort en attendant l’ambulance» aurait attiré davantage l’attention tout en étant plus compréhensible pour le lectorat francophone.
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