2020-09-30. Aux gestionnaires d’Alutrec. Votre compagnie est à la recherche de soudeurs-monteurs. Un placard publicitaire publié dans le Journal de Québec annonce : «Dix postes à combler» (30 septembre, p. 14). Rien de nouveau sous le soleil! Déjà en 1996, l'Asulf (www.asulf.org) recommandait que l’on remplace l’expression par «poste à pourvoir». On écrivait à propos de «poste à combler» : «L’expression est fréquente au Québec… Elle est une traduction littérale de «to fill a vacancy». Aucun des sens du verbe «combler» ne convient… / En français on ‘pourvoit à un emploi, à un poste’». On concluait l’article en affirmant qu’aucune raison ne justifiait l’utilisation du verbe ‘combler’ dans le contexte. L’avis tient toujours. L’Office de la langue note encore «C’est une impropriété d’employer le verbe combler, à la place de pourvoir, en parlant d’un poste. Au sens propre, on peut combler un puits… mais on ne saurait combler un poste». En somme, à la première occasion, il y aurait lieu de choisir l’expression correcte.
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