2020-11-15. Les jardiniers de la langue critiquent les formes fautives. À l’occasion, des succès couronnent leurs interventions. Ainsi, depuis quelques années, l’expression «Vendredi fou» a pris la place de «Black Friday» et de sa traduction littérale «Vendredi noir» (donc un jour catastrophique). L’Office québécois de la langue l’a proposée il y a trois ans. Les membres de l’Asulf sont intervenus auprès des marchands et des publicitaires qui utilisaient l’expression anglaise ou sa traduction malhabile. Les consommateurs peuvent lire ces jours-ci les messages de la Galerie du Meuble et des magasins Latulippe (Le Soleil, 14 nov., p. 7 et 13) et ceux des consoles intérieures des magasins Simons : «Vendredi fou». Il semble bien que la victoire en soit assurée en sol québécois. Ce qui n’est pas encore le cas en France
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