2019-10-14. Monsieur Tremblay, J’ai envie de vous révéler une grande nouvelle! Pour le faire, je m’inspire d’une formule que vous utilisez : «En 1975, on m’a déployé (?) à la bibliothèque nationale de Côte d’Ivoire ». De votre côté, vous nous rappelez que K. Domon-Grenier a été déployé en Afghanistan il y a une dizaine d’années (J. de Qc, 14 oct., p. 2). Le verbe ne poserait pas de problème selon les répertoires correctifs. Mais les exemples donnés dans les dictionnaires d’usage sont les suivants : «Déployer une troupe» (Quilllet, 1948), «Le général déploya ses troupes» (Girodet, 1997), « Déployer une armée» (Littré, 2004), «Déployer des troupes, une armée» (Robert, 2007). Bref, on ne déploie jamais un individu, qu’il soit pompier ou policier. On déploie une brigade ou une escouade. Et pour cause : déployer un homme, c’est le disposer sur une plus grande étendue! Les répertoires correctifs devraient étudier un tel usage
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Halloween (2025)
2025-11-02. C’était l’ Halloween hier. La graphie du mot fait l’unanimité. Mais on rencontre à l’occasion une variation : Hallowe’en. C’est...
-
2025-09-19. Jusqu’à maintenant, l’expression « fling flang » n’a pas obtenu la moindre place dans les dictionnaires tant d’usage que correct...
-
2025-11-27. Le sur-titre « ’Fling-flang’ au PLQ» précède la manchette «L’Upac rencontre Marwah Rizqy» à la Une du Journal de Québec (27 nov...
-
2025-06-01. Monsieur Claude Villeneuve, chef de l’opposition au conseil municipal de Québec, utilise une expression anglaise quand il s’agit...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire