2020-12-20. Le fait de ne pas chercher à nommer en français des réalités, des phénomènes ou des fêtes importés en sol québécois peut être considéré comme une faille dans le dynamisme langagier francophone. Avalanche publicise «Boxing day avant l’heure» (Le J. de Qc, 20 décembre, p. 17 et site internet). Ce faisant, l’entreprise semble en retard sur la mise au rancart graduelle de l’expression anglaise. L’Expression juste de mars 2020 (www.asulf.org) faisait part de la tendance. Un relevé des numéros du Soleil et du Journal de Québec datées du 24 au 28 décembre 2019 montrait que l’expression «Après-Noël» l’emportait de 26 à 2 sur 38 placards. Six marchands avaient utilisé des solutions de rechange. Espérons qu’Avalanche fera mieux l’an prochain, que la compagnie participera à l’enrichissement du français d’ici et qu’elle s’inspirera des recommandations de l’Office québécois de la langue.
lundi 21 décembre 2020
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Halloween (2025)
2025-11-02. C’était l’ Halloween hier. La graphie du mot fait l’unanimité. Mais on rencontre à l’occasion une variation : Hallowe’en. C’est...
-
2025-09-19. Jusqu’à maintenant, l’expression « fling flang » n’a pas obtenu la moindre place dans les dictionnaires tant d’usage que correct...
-
2025-11-27. Le sur-titre « ’Fling-flang’ au PLQ» précède la manchette «L’Upac rencontre Marwah Rizqy» à la Une du Journal de Québec (27 nov...
-
2025-06-01. Monsieur Claude Villeneuve, chef de l’opposition au conseil municipal de Québec, utilise une expression anglaise quand il s’agit...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire