2019-06-17. Un ami se demande pourquoi je n’ai pas relevé
le mot «full» de l’expression intégrale «full patchage». Je vous confierai un
secret, je ne l’ai pas aperçu. J’ai été obligé de retrouver le numéro du
Journal de Québec (16 juin). Effectivement, la manchette est bien : «Routes : full
patchage». La seule excuse qui me vient à l’esprit est que nous sommes tous
(je m’inclus dans le lot) fort anglicisés : il y a des mots anglais que nous
croyons des mots français : cash, look, fonne
(ou fun), lousse, tchome (ou chum), flaillé (ou flyé), câle (ou call), cédulé,
staff, shift, etc. Dans le lot, on ajoutera «full ». Il est impardonnable que
je ne l’eusse pas relevé. Mais je me confesse : je suis plus anglicisé que je
le pense. Comme l’ensemble de mes concitoyens.
P.s. : «Je vous félicite pour votre message à
madame Ravary… Je ne m’explique pas toutefois que vous ayez passé sous silence
le mot full. … Il est de la même veine que le mot patchage. /…. un tel titre
est scandaleux et ne devrait pas figurer dans le journal fondé par Péladeau».
mercredi 27 janvier 2021
Full patchage (2019)
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