2019-06-16. Chère madame Ravary, Il est difficile de comprendre pourquoi le titreur du texte que vous signez (Journal de Québec, 16 juin, p. 15) a choisi le mot franglais «patchage». Vous ne l'avez pas utilisé dans le reportage. Par ailleurs, il y a des mots français équivalents, tout aussi péjoratifs : rapiéçage, cataplasme, réparation temporaire ou rapide, etc. On peut dire que le mot a une petite couleur locale ou provinciale grâce au suffixe -age, lequel marque l'action comme dans bavardage, chauffage, jardinage, etc. Mais là le suffixe était joint à un mot français (bavarder, chauffer...),. contrairement à «patchage». Il est inutile en français, car il a des synonymes. L'amélioration de la langue de chez nous passe par l'utilisation des mots français s'ils existent. C'est le cas ici et le titreur n'avait pas à enrôler un mot franglais. Il serait sage de le lui faire savoir.
mercredi 27 janvier 2021
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Halloween (2025)
2025-11-02. C’était l’ Halloween hier. La graphie du mot fait l’unanimité. Mais on rencontre à l’occasion une variation : Hallowe’en. C’est...
-
2025-09-19. Jusqu’à maintenant, l’expression « fling flang » n’a pas obtenu la moindre place dans les dictionnaires tant d’usage que correct...
-
2025-11-27. Le sur-titre « ’Fling-flang’ au PLQ» précède la manchette «L’Upac rencontre Marwah Rizqy» à la Une du Journal de Québec (27 nov...
-
2025-06-01. Monsieur Claude Villeneuve, chef de l’opposition au conseil municipal de Québec, utilise une expression anglaise quand il s’agit...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire