2017.08.01. Qui veut faire des relations publiques doit connaître sa langue, et savoir distinguer l’anglais du français. Si l’on prend le moindre risque et si l’on dérape, le journaliste ou le titreur sautera sur l’occasion pour donner toute la visibilité possible à la forme fautive ou à un mot anglais remplaçable. Aussi n’est-il que normal que le Soleil ait utilisé un mot anglais de Joël Leblanc, le fondateur de Zapiens. Il avait dit: «On a trouvé une façon de rendre la science plus funky » (31 juillet 2017, p. 10). Le titreur en a tiré «Un bunker pour rendre la science funky ». On peut supposer que 90 % des lecteurs du journal ignorent le sens du mot américain. Génial? Moderne? Alluré? Rythmé (à la manière du funk)? Seul le fondateur de Zapiens aurait pu préciser le sens qu’il voulait donner au mot anglais qu’il a lancé comme un os à la journaliste (et au titreur) du journal.
vendredi 29 janvier 2021
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