2021-01-26. Il y a des mots anglais que les Québécois ont laurentianisés ou québécisés en les orthographiant à la française. Les uns sont installés : lousse, bécosse, toune, crouser. Il en est un qu’on ne réussit pas à assimiler : le «party». Depuis le début de la pandémie du covid, nos ministres ont essayé de convaincre la population de ne pas organiser de «party». On ne parvient pas à lui trouver de substituts. Les parties, surprises-parties, fêtes, soirées, boums, fiestas, ribouldingues, festouilles : rien ne fait l’affaire. C’est un vrai cul-de-sac! Faute de mieux, ne pourrait-on pas faire appel à «parté»? On connaît déjà les «apartés»! Le mot «parté» en deviendrait l’antonyme! Léandre Bergeron note dans son dictionnaire publié en 1980 que l’on prononce le mot «parté» au Québec. Il devient facile de l’écrire sans difficulté. Et, ce faisant, on enrichit le français comme l’ont fait nos aïeux.
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