2017.09.22. Si vous étiez reviseur d’un texte destiné à la publication, laisseriez-vous passer tels quels les passages suivants ? «… Galy… était bien à son spot (sic) habituel pour vendre ses COPIES» et «… certains promettent d’acheter une COPIE» (Le Soleil, 22 sept. p. 17, 1e et 2e col.). Le journaliste B. Ricard-Châtelain, c’est clair, ne fait pas la distinction entre «copie » et « exemplaire ». Il est sans doute victime de sa connaissance de l’anglais : il ignore ou a oublié que le mot «copy » recouvre deux notions : la reproduction fidèle d’un original d’une part et un exemplaire d’un tirage quelconque d’autre part. Tous les outils correctifs insistent sur la distinction (Banque de dépannage, Multidictionnaire, Le français au micro…). Le journaliste devrait mémoriser les deux notions pour l’avenir. Les réviseurs, quant à eux, auraient pu corriger l’expression, surtout que le camelot de la Quête ne semble pas l’avoir suggérée.
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