2013.10.08. Il y a cinquante ans, le professeur Darbelnet pointait la vie politique comme une voie de pénétration de l'anglais dans le français québécois. Le phénomène se poursuivrait-il? On voit que l'éditorialiste du Devoir, Antoine Robitaille, guillemette l'adjectif de l'expression "question plantée" (7 octobre, p. A-6). On définit cette dernière « question posée à un ministre... averti au préalable ». De fait, c'est une question truquée, une question de complaisance, une prétendue ou une simili question impromptue, une question posée par un compère, etc. Alors que vient faire le mot « plantée » dans l'expression? Comment l'expliquer? Serait-il uniquement un calque de « planted question »? Un de plus!
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