2016.10.31. Monsieur Provencher (Le Soleil). Vous avez l’habitude, vous et vos collègues des médias, d’expliquer aux lecteurs, aux auditeurs ou aux téléspectateurs des phénomènes ou des réalités en suggérant des expressions anglaises que vous ne cherchez pas à traduire ou à expliquer en français. On a lu samedi dernier dans votre critique d’un volume de Lucie Pagé (Sexe, pot et politique) la phrase « Un essai aurait mieux fait l’affaire pour étayer sa thèse, plutôt que cette histoire 100 % «chick-lit», tarabiscotée et simpliste » (Le Soleil, 29 oc t. p. A11). L’expression « chick-lit » n’est pas française. Plus des trois quarts des lecteurs ignorent probablement son sens. Dans le Grand Robert & Collins, on la traduit par une périphrase : « genre romanesque décrivant de jeunes femmes actives et leur vie sentimentale ». En s’attardant dans l’article, on devine l’origine de l’expression : « chick » = pépée ou poulette; lit = littérature. En somme, un roman érotique. C’est tout simple et c’est en français.
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