2012.12.30. Le chroniqueur du Soleil, François Bourque, aime bien répéter un franglicisme de temps à autre. Cela fait populo. Aujourd'hui (30 décembre), il fait appel à l'expression "des peanuts" pour qualifier un montant de 100 000 $ sur 1 500 000 $. Il aurait pu écrire "des nèfles", "de la roupie de sansonnet", "des riens", "des clous", ou en franglais amélioré : "des pinottes". Les journalistes pourraient certainement continuer à bien écrire sans utiliser les franglicismes bien implantés dans le milieu, mais largement dénoncés.
dimanche 14 mars 2021
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