2018.04.28. Il pleuvra dans deux jours, il ventera. C’est un temps auquel nous sommes habitués. Par la suite, le soleil se montrera et la température montera. Pourquoi faut-il que les journalistes de la première chaine nous donnent-ils des «avertissements » alors que pluie et mauvais temps sont choses courantes en territoire laurentien? Le mot a quelque chose d’impératif, de comminatoire ou de négatif, d’une mise en garde ou même d’une réprimande. À la limite, on comprendrait «un avertissement» de pluie abondante, d’une pluie diluvienne, d’une chute de neige de 30 cm ou de vents violents. On comprendrait que les services météorologiques donnent l’alerte face à de telles prévisions. Mais les journalistes lancent sans raison des «avertissements» de température et de temps normaux. Espérons qu’ils n’iront pas jusqu’à lancer des «avertissements » de temps doux et agréables pour les mois à venir (Commentaire établi à la suite du Téléjournal Québec du 28 avril).
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