2018.04.30. Le Devoir et le Soleil publient le même jour des chroniques de J.B. Nadeau et de Mylène Moisan. Le premier fait état du peu d’effet des anglicismes sur l’avenir du français et la seconde relève un anglicisme sémantique méconnu jusqu’ici : J. Trudeau considère que la tuerie de Toronto est un «incident », c’est-à-dire un événement secondaire (Le Soleil, 30 avril, p. 6)! De fait, le premier ministre ignore le poids relatif du mot français habitué qu’il est à sa signification plus ample en anglais. On peut souhaiter qu’il se corrige, mais il est probablement trop tard : il a d’autres chats à fouetter. L’anglicisme, si on l’a employé, est passé sous les radars par le passé. Les outils de consultation l’ignorent totalement (une exception : Évitez de dire… Dites plutôt / B. Laygues, 2003). Il y a là une lacune à combler.
vendredi 9 avril 2021
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