2017.12.07. De nombreuses expressions se présentent au portillon pour qui a la tentation d’écrire ou de prononcer «patate chaude» : problème épineux, casse-tête, question brûlante, affaire embarrassante, épine au pied, etc. L’emploi de l’expression devrait se limiter à la langue familière selon Guy Bertrand (400 capsules…, vol. 2), qui la trouve toutefois sympathique. Usito note : «… est parfois critiqué au Québec». M.É. de Villers la classe comme «forme fautive ». Le Robert la reproduit mais note qu’elle est un calque de l’anglais. Pourtant un journaliste, G. Lavoie, l’utilise dans un article et le titreur la hisse dans le titre de l’article («Les deux patates chaudes », Le Soleil, 7 déc. p. 7). En amont, les réviseurs l’avaient déjà laissé passer en dépit de tous les clignotants.
jeudi 22 avril 2021
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