2018.02.17. Un doute passe, comme dirait Devos. Une journaliste du téléjournal (R.C. Québec, 17 février, 18 h 25) utilise l’expression «grande finale». Elle parle d’un concours de danse. La question se pose : peut-on parler de «grande finale»? sans faire un pléonasme. Robert définit le mot «finale» : «Dernière épreuve… qui, après les éliminatoires et parfois le repêchage, désigne le vainqueur ». Dire «grande finale», c’est sous-entendre qu’il pourrait exister une «petite finale». De fait, cela serait. Le Robert précise : «Petite finale : disputée entre les demi-finalistes pour la troisième place». Mais on n'y a pas épinglé «grande finale». Bref, je suis confondu. Et vous? chers correspondants et chères correspondantes.
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