2021-06-14. La société se démocratise. Il en va de même du secteur des libérations conditionnelles! Les candidats à la libération peuvent, si on en croit un reportage, poser leur candidature et la soumettre à l’électorat. Lisons : «Me Caroline Munger […] a demandé au juge François Huot une période de douze ans avant que Mme Webb puisse être éligible à la libération…» (Le Soleil, 12 juin, p. 14). Des hommes politiques perdent à l’occasion le droit de poser leur candidature à sa suite d’une condamnation. À fortiori, Mélissa Webb devra-t-elle attendre plus d’une décennie avant de briguer de nouvelles fonctions. C’est beaucoup en regard de l’abandon de la rétrograde admissibilité, compétence de cercles fermés ignorant le droit de candidater. Ce progrès vaut bien un anglicisme sémantique (https://asulf.org/eligible/)!
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