2016.03.23. Quand le commissaire à la santé et au bien-être, Robert Salois, se contente de parler de sujet «touchy », que le titreur du Soleil repêche le mot de la quatrième colonne de l’article (23 mars, p. 12) et le reproduit en médaillon, il faudrait que les abonnés et les lecteurs réagissent et proposent des solutions de rechange. Le témoin utilise le mot anglais. Il ne sait pas comment rendre l’idée. Il faudrait lui proposer : sujet sensible, sujet délicat, sujet chargé d’électricité, sujet épineux. Et comme la langue française est la sienne, il faut qu’il sache qu’il peut chercher aussi, dans son lexique intérieur, l’expression qui convient. De son côté, l’auteur du reportage aurait dû ajouter un équivalent français au mot anglais (entre parenthèse s’il le faut). Cela aurait permis une alternative au titreur. Si tous font leur bout de chemin, témoin, auteur, titreur et lecteurs, le français pourra s’améliorer en sol québécois.
vendredi 4 juin 2021
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