2021-09-08. On comprend très bien un frère de s’opposer au « déploiement » de sa sœur en Afghanistan (Le Devoir, 8 septembre, p. A9). On comprend très bien aussi qu’on puisse procéder au déploiement d’une armée ou d’une brigade de pompiers. Mais, normalement, il est risqué d’appliquer la même technique à une pompière ou à une soldate. De fait, les dictionnaires, greffiers des faits et des pratiques, ignorent le déploiement d’une seule personne. À la limite, on pourrait en déployer deux ou trois. Mais cela ferait rire les journalistes tant la tartinade serait mince sur le territoire afghan. Ce serait en quelque sorte, écarteler, martyriser, écraser, torturer! À moins qu’on ait affaire à un simple barbarisme. Ce qui serait moins dramatique.
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