2021-08-25. Il y aura des élections municipales à Québec cet automne. Les valeureux candidats au poste de maire ou de conseillers doivent être conscients d’une astreinte : les mots et expressions qu’ils utiliseront à titre d’élus ne seront plus les leurs mais ceux d’une institution de l’État. Aussi serait-il important qu’ils soient disposés à abandonner des tournures jugées fautives par les auteurs de répertoires correctifs (le Multi par exemple). Ainsi, lors de sa première entrevue (le J. de Qc, 25 août, p. 6), monsieur Bruno Marchand s’est contenté de l’expression «jusqu’à date», un calque de «up to date. En français, on a les équivalents «jusqu’ici», «jusqu’à maintenant», «jusqu’à présent»… Un simple citoyen peut répéter des tournures critiquées. Peut-être un candidat. Mais pas un élu.
vendredi 3 septembre 2021
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Halloween (2025)
2025-11-02. C’était l’ Halloween hier. La graphie du mot fait l’unanimité. Mais on rencontre à l’occasion une variation : Hallowe’en. C’est...
-
2025-09-19. Jusqu’à maintenant, l’expression « fling flang » n’a pas obtenu la moindre place dans les dictionnaires tant d’usage que correct...
-
2025-11-27. Le sur-titre « ’Fling-flang’ au PLQ» précède la manchette «L’Upac rencontre Marwah Rizqy» à la Une du Journal de Québec (27 nov...
-
2025-06-01. Monsieur Claude Villeneuve, chef de l’opposition au conseil municipal de Québec, utilise une expression anglaise quand il s’agit...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire