2013.08.24. Une journaliste écrit, à propos de logements dont la construction est envisagée à Québec: 1) « 250 000 $ par unité » et 2) « 700 unités » (Le Soleil, 23 août, p. 5). Dans le premier cas, il serait beaucoup plus français de dire « 250 000 $ chacun » et, dans le second « 700 logements ». Les deux passages sont calqués de l'anglais « per unit » et « dwelling unit ». L'anglicisation des Québécois est-elle si avancée qu'il faille écrire en franglais ou encore calquer l'américain pour être compris des lecteurs? Probablement pas, mais les journalistes succombent facilement aux tournures de l'anglais.
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