2022-01-01. La chroniqueuse Josiane Cossette écrit, à la fin d’un article portant sur la gestion étatique de la covid, «… surmonter le mur qu’on a frappé» et le titreur le raccourcit : «Frapper un mur» (Le Devoir, 31 décembre, p. B12). Un vieux guide de la Presse canadienne (2006) précise au mot «frapper» : «Marteler délibérément». Paul Roux (Lexique…; Éditions La Presse) aborde le sujet en 2004. Récemment, le linguiste Lionel Meney y a consacré un billet étoffé. Il observe :«Sous l’influence de ‘to hit’, le verbe ‘frapper’, en français québécois couvre les sens de frapper et de heurter en français standard …». Meney reconnait que l’expression «se heurter à un mur» est «plus correcte», mais que le calque est ressenti comme plus fort en contexte québécois. Est-ce une raison suffisante pour l’employer? (https://carnetdunlinguiste.blogspot.com/search...)
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