2022-01.03. Je profite du début de l’année pour reproduire ci-dessous un extrait du billet signé Pierre Bénard et publié dans Le Figaro du 31 décembre 2004. Je contresigne à la fois les souhaits et la leçon de français qui suit.
« Mille regrets et autant
d’excuses, mais je ne vous souhaite pas mes vœux de bonne année. Je vous souhaite douze mois délicieux, une
santé florissante, sans l’ombre d’un rhumatisme, des bonheurs à vous couper le
souffle et des rentrées d’argent à ne savoir qu’en faire, je vous souhaite le
possible et même l’improbable, je vous souhaite tout, sauf mes bons vœux.
Ces vœux d’heureuse année, on les offre, on les présente aux personnes
qui nous sont chères […] On ne leur souhaite pas. […]
Reste que je souhaite des vœux si j’en attends, si j’en espère […]
Souhaiter des vœux, c’est concevoir le souhait d’en recevoir »
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