2022-02-12. Gérard Bouchard est fier d’être québécois, mais des questions le préoccupent. L'une d'elles: l’avenir de notre parler. Il écrit : «La nouvelle vague d’anglicismes qui déferle […] sur notre langue […] témoigne d’un relâchement difficile `expliquer. […] les emprunts à l’anglais prolifèrent. Un usage qui m’agace […] c’est quand un locuteur insère dans un texte ou une conversation un mot ou une expression anglaise («comme disent les Anglais»). Sous-entendu : l’expression française est trop pauvre (trop ‘cheap’), elle ne fait pas le poids. Ce procédé dévalue notre langue» (Le Devoir, 12 février 2022, p. B13).
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