2021-01-15. En matière de statut et de qualité de la langue, l’État québécois doit faire en sorte que les locuteurs parviennent à refuser le tout-à-l’anglais en matière de raison sociale. Une jeune pousse de Québec, mise sur pied en 2016, vise l’achat local, l’environnement et se fonde sur l’amour et l’acceptation de soi. La jeune pousse porte le nom d’Othersea. On y travaille en collaboration avec des homologues (Rauw Jewellry et Up Simply). Ses gammes de vêtements, outre les maillots de bain, sont baptisées «Loungewear» et «Beachwear» (Le Soleil, 15 janvier, p. M34-M35). Les fondatrices de l’entreprise (et sans doute plusieurs de leurs collègues) adoptent, sans s’en rendre compte, des raisons sociales, des marques de produits ou des accroches qui n’ont rien à voir avec la langue locale, avec l’amour de soi ou du milieu lui-même. De là la nécessité pour l’État d’encourager la prise de conscience et l’évolution des mentalités au moment de l'étude du projet de loi 96.
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