2022-04-12. Les périodiques deviennent des documents qu’on parcourt. Les illustrations, les tableaux, les cartes attirent l'oeil. À l’occasion, ils annulent des efforts. Les journalistes peuvent éviter un mot anglais dans leurs reportages, mais une illustration peut l’imposer. Jean-François Cliche, dans la chronique Vérification faite du 9 avril (Le Soleil, p. 6-7), analyse le nombre de morts dû à la covid depuis certains assouplissements. On a illustré l’article de la photo d’un technicien paramédical ou d’un ambulancier vu de dos et portant l'identification «Paramedic». Les metteurs en page doivent savoir que ce mot est anglais, que l’Office québécois de la langue française propose qu’on le remplace, au choix, par «ambulancier», par «ambulancier paramédical, par «technicien ambulancier paramédical» ou «TAP». Les journaux acceptent l’argent de l’État consacré à la publicité des mesures sanitaires. Ils devraient s’inspirer de ses conseils en matière de langue.
mardi 3 mai 2022
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