2022-04.28. Le Devoir consacre un article au grand nombre de raisons sociales en anglais au Québec (27 avril, p. B5). On se demande ce qui amène les hommes d’affaires à choisir des appellations anglaises. Ce serait avant tout pour vendre des produits et services au Canada et aux États-Unis. Le marché québécois les laisse indifférents. Comme la langue française d’ailleurs. La raison invoquée et celles passées sous silence (snobisme, suivisme, méconnaissance et mépris du français) étayent le fait que la langue commune est une langue provinciale, de peu de prestige, de peu de rayonnement. Une langue infantile selon Marc Chevrier. En voie de se créoliser selon Radjoul Mouhamadou. Faut-il en défendre le statut et la qualité?
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