2022-05-17. Monsieur Dimitri Girier de l’Université de Montréal donne une séance de formation sous l’égide de la Fédération du monde de la documentation et l’intitule «Les biais inconscients» et la première phrase de présentation se décline : «Les biais inconscients nous amènent parfois à poser un jugement hâtif sur des personnes…» (Infolettre, 17 mai). Le conseiller de l’Université est sans doute au fait que le mot «biais», par ailleurs parfaitement français, est un anglicisme lorsqu’on lui donne le sens de «préjugé», «a priori», «idée préconçue», «parti pris», etc. L’anglicisme sémantique ne met pas en péril la survie du français au Québec. Il n’affecte pas la syntaxe de la langue. Mais il illustre le fait que le français est sous influence et en état de dépendance.
jeudi 9 juin 2022
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