2022-09-23. On sait, c’est un avis de l’Office québécois de la langue, que l’expression «temps supplémentaire» est à utiliser avec prudence. Nombreux sont ceux qui ont lu le bandeau : «Mettre fin au temps supplémentaire obligatoire» lors du Débat des chefs (vers 21 h le 22 septembre). L’Office rejette l’expression comme équivalent d’«overtime». Il propose plutôt «heures supplémentaires». Cependant, on y accepte «temps supplémentaire» pour parler d’une façon générale de «période de travail supplémentaire de durée indéterminée» (Vocabulaire des relations professionnelle; Micheline Lapointe-Giguère). En somme, si l’on se borne à «Mettre fin au temps supplémentaire», la manchette semble acceptable. Le temps supplémentaire est une notion toute théorique, mais, dans le quotidien, on fait «des heures supplémentaires». L’interprétation est-elle correcte?
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