2023-03-10. Métro Québec numérique daté du 8 mars apprend à ses lecteurs que les dômes de BFLY pourraient être installés sur les terrains des Galeries de la Capitale. Le projet est sans contredit justifié. Mais le nom anglais abrégé détonne dans le paysage québécois même s’il est intéressant. Il est fort possible que la compagnie vise d’abord et avant tout le marché canadien et étatsunien. Idéalement, le nom devrait refléter le Québec et ne pas oublier l’Amérique hispanique. Il est vrai que l’abréviation est suivie de mots français de service (La magie du rêve). L’habitude de mettre des mots anglais sous les projecteurs fait partie des réflexes innés des nationaux. Ils sont obnubilés par l’anglais. Ils n’ont pas idée de se servir du français et d’autres langues. Par exemple : «P.pillon» ou «M.posa» sur le modèle de «Bfly» ou «B.fly). Ce serait pourtant garder l’œil sur la réalité d’ici et sur le monde.
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