2025.03.20. L’Asulf vient d’afficher sur son site (www.asulf.org) un avis de Noëlle Guilloton à propos du phénomène de défection de la part des patients des médecins, le «no-show». L’avis arrive à point nommé. Les lecteurs du Journal de Québec auront lu le sous-titre suivant : « Québec demande une petite pénalité pour contrer le phénomène du no-show » (20 mars, p. 37). Le mot «défection» correspond bien au problème. Mais comment désigner les clients qui demandent qu’on leur réserve une place dans un restaurant, un rendez-vous dans une clinique médicale ou chez un dentiste et qui, par la suite, font fi du rendez-vous obtenu? Madame Guilloton évoque «client défaillant», «défaillant», «faux-bond». Le journaliste Louis Deschênes emploie «client ‘fantôme’». Il serait sans doute plus gentil d’en faire, pour l’heure, un « client fictif » ou un « pur esprit»!
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