2024.04.13. Le Journal de Québec affiche un mot anglais, un substantif, qu’il est difficile de contourner ou de remplacer : «boost» (12-13 avril, p. 81). Il y est d’abord en manchette («Un vrai ‘boost’ pour Patrick Senécal ») et ensuite dans une phrase («… un salon du livre, c’est comme un ‘boost’ de batterie ». Comme le mot est court, il n’est pas aisé de lui substituer un mot français. Mais il y en a quand même des candidats : un vrai piston pour…, une vraie poussée pour…, etc. Les deux tournures pourraient servir en manchette. Reste l’expression «boost de batterie». Depuis belle lurette, l’opération est connue sous le nom de «boostage». Meney la définit comme le «dépannage d’une batterie à plat» (Dictionnaire québécois-français). On pourrait parler de «survoltage». Bref, à tête reposée, Senécal aurait pu dire : «…c’est comme un survoltage» et le titreur écrire : «Un vrai piston pour…».
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