2025.06.21. À la limite, on pourrait qualifier Jean-François Lisée de «meilleur vendeur» de son récent volume (Jean-François Lisée raconte Lévesque/ Trudeau, leur jeunesse, notre histoire). La demi page publicitaire parue dans le Devoir (21 22 juin, p. A6) le présente ainsi : « Meilleur vendeur ». JFL serait devenu un commerçant et possiblement un libraire! Il doit y avoir maldonne. On a sans doute voulu éviter l’anglicisme «best-seller», expression qui sert à désigner les livres qui caracolent au sommet des ventes du marché du livre et des libraires. Mais il ne faut pas faire du livre un vendeur ni, a fortiori, le meilleur vendeur qui soit. Des solutions de rechange existent pourtant que les publicitaires de la Boîte à Lisée auraient pu mettre en vedette : «succès de librairie», «livre à succès», «livre-événement», ou encore, «meilleure vente».
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