2025.06.15. Une ou un élu, à quelque titre que ce soit, ne parle pas en son nom personnel en présence des médias, comme ce serait le cas avec un ami au coin de la rue ou à la taverne. Il représente l’État ou une partie de celui-ci. En principe, il devrait utiliser une langue correcte, éviter les impropriétés et les anglicismes inutiles. Monsieur Grandmont, député de Taschereau à l’Assemblée, accuse le gouvernement de bluffer la population. Il aurait dit «on call le bluff» (//monquartier.quebec/2025.../). À titre de député, peut-être un jour ministre de la Culture ou même de la Langue, le député devrait employer un langage soigné. «On call le bluff», c’est à-dire? On veut intimider! On veut faire les gros bras! On veut tromper! On bluffe!
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