2025.08.06. Il est de nombreux mots américains qu’on a de la difficulté de rendre en français d’une manière simple et courte. Par exemple : « cheerleader » hissé en manchette du Journal de Québec : « La prison pour un cheerleader » (6 août, p. 7) et repris dans la première phrase de l’article. On y emploi aussi le nom de la fonction : « cheerleading ». On connait les « meneuses de claque ». Camil Chouinard écrit (2007) : « Chauffeur, chauffeuse de salle est le terme utilisé en France […] Le terme équivalent proposé au Québec est ‘meneur, meneuse de claque’… » (1500 pièges du français). En Espagne, la Fundación del Español Urgente recommande le mot «animadora» et sa forme masculine. Le mot « animateur » serait sans doute trop neutre ici. Peut-être y aurait-il lieu de parler de « meneur de claque » et donc de « Prison pour un meneur de claque ».
mardi 2 septembre 2025
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