2025.08.17. Nos concitoyens sont créatifs quand il est nécessaire d’intégrer des mots anglais au français québécois. Prenons le verbe «flailler» (graphie proposée par Léandre Bergeron) ou la forme laurentianisée «flyé» de «to fly». Une manchette du Soleil le met en vedette : « Un projet ‘flyé’ pour remplacer un stationnement » (17 août, 4 h 1). C’est le titre de l’article et l’auteur l’emploie en début de texte. Les solutions de rechange ne manquent pas s’il faut qualifier le projet : créatif, débridé, éclaté, étonnant, excentrique, extraordinaire, extravagant, fabuleux, farfelu, fou, foufou, folichon, incroyable, inouï, pété...». Le choix est difficile, trop sans doute. Faut-il rappeler une citation de Frédéric Dard : « Entre deux mots, il faut choisir le pire »? Mais s’il y en a une dizaine, le choix du mot anglais s’imposera encore plus facilement! Non?
mardi 2 septembre 2025
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Halloween (2025)
2025-11-02. C’était l’ Halloween hier. La graphie du mot fait l’unanimité. Mais on rencontre à l’occasion une variation : Hallowe’en. C’est...
-
2025-09-19. Jusqu’à maintenant, l’expression « fling flang » n’a pas obtenu la moindre place dans les dictionnaires tant d’usage que correct...
-
2025-11-27. Le sur-titre « ’Fling-flang’ au PLQ» précède la manchette «L’Upac rencontre Marwah Rizqy» à la Une du Journal de Québec (27 nov...
-
2025-06-01. Monsieur Claude Villeneuve, chef de l’opposition au conseil municipal de Québec, utilise une expression anglaise quand il s’agit...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire