2025.08.23. Une manchette du Journal de Québec se déroule ainsi : «Il quitte le monde de la finance pour vivre dans le bois» (23-24 août, p. 2). On lit à deux occasions la tournure dans l'article. En France, on aurait plutôt écrit : «… pour vivre dans la forêt» ou «… pour vivre dans les bois». Le professeur Meney note que « le bois» désigne un « espace de terrain couvert d’arbres » (Dictionnaire québécois-français). Ou encore un boisé, c’est-à-dire une parcelle boisée située habituellement à l’extrémité d’une ‘terre’. Le citoyen qui choisit de suivre l’exemple de Henry David Thoreau devrait s’inspirer du titre de son récit «Walden ou la vie dans les bois » . Mais cela mettrait à mal l’expression toute québécoise et calquée sur l’anglais «Ne pas être sorti du bois»!
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