2025-10-01. Ni la journaliste Marianne Lafleur, ni l’ex-sergent détective André Gélinas, ni les metteurs en page ne parviennent à dénicher un équivalent à «cold case» (Le J. de Montréal, 1er octobre). Ils ne sont pas les premiers à déclarer forfait. On contourne la difficulté dans la manchette : on écrit «Trois énigmes policières…». La journaliste, pour sa part, fait fond sur l’expression «cold case». C’est compréhensible, car elle est courte par rapport aux solutions du Grand dictionnaire terminologique ou de Termium. En vrac : affaire non résolue, dossier non résolu, cas non résolu, affaire gelée, affaire dormante. Des correspondants du blogue Au cœur du français proposent «affaires classées» ou «affaires non résolues ». Ces tournures n’ont pas le punch de l'expression anglaise, mais elles en constituent des variations correctes.
dimanche 2 novembre 2025
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