2025-11-30. Richard Martineau ne se méfie pas du mot «impact». Il l’utilise cinq fois dans une chronique du Journal de Québec des 29-30 novembre (p. 6) : «les impacts de cette décision; aux impacts que…. ; sans tenir compte des impacts…; penser aux impacts; chaque décision… a un impact» . On le reproduit aussi dans un médaillon. L’Académie française présente un court billet sur le mot : « Le substantif ‘impact’, désignant le choc d’un projectile contre un corps, ou la trace, le trou qu’il laisse, ne peut s’employer figurément que pour évoquer un effet d’une grande violence. On ne saurait en faire un simple équivalent de ‘conséquence, résultat ou influence’» (Dire, ne pas dire; 2025). Il semble donc que le chroniqueur devrait jeter un second regard à «impact»!
mardi 2 décembre 2025
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Halloween (2025)
2025-11-02. C’était l’ Halloween hier. La graphie du mot fait l’unanimité. Mais on rencontre à l’occasion une variation : Hallowe’en. C’est...
-
2025-09-19. Jusqu’à maintenant, l’expression « fling flang » n’a pas obtenu la moindre place dans les dictionnaires tant d’usage que correct...
-
2025-11-27. Le sur-titre « ’Fling-flang’ au PLQ» précède la manchette «L’Upac rencontre Marwah Rizqy» à la Une du Journal de Québec (27 nov...
-
2025-06-01. Monsieur Claude Villeneuve, chef de l’opposition au conseil municipal de Québec, utilise une expression anglaise quand il s’agit...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire