2025-11-24. Il va presque de soi qu’un tireur embusqué ne fasse pas le poids devant le mot anglais «sniper». On acceptera cependant que le mot puisse avoir la priorité aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Australie… Mais en France ou ici au Québec ne pourrait-on pas jeter un coup d’œil aux dictionnaires de traduction? La question devrait être posée au chroniqueur Jean-François Nadeau qui reprend le mot employé par une correspondante du Times (Londres) à l’occasion d’un reportage sur de possibles safaris humains sollicités à Sarajevo durant la dernière décennie du XXe siècle (Le Devoir, «Le commerce des massacres», 24 nov., p. A3). Pour nommer le phénomène, le journaliste ne trouve que le mot anglais pour les lecteurs du Devoir. Il ignore franc-tireur, fou-tireur, tireur isolé, embusqué, furtif et même tireur d’élite (!). Bref, le français a encore les mots pour dire la chose!
mardi 2 décembre 2025
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